Si j’étais candidat…
SALECK.Isabelle, le 18 avril 2024
Vous ne le savez certainement pas, mais le 6 juin 2024 marquera une échéance majeure pour notre profession. À cette date, 12 des 24 membres du Conseil National de l’Ordre seront renouvelés, ce qui entraînera la désignation d’un nouveau bureau et, par conséquent, d’un nouveau président.
Bien que la fonction puisse sembler hautement symbolique, le président représente notre profession auprès des instances les plus éminentes du pays, ce qui en fait un rôle essentiel pour son avenir et son fonctionnement quotidien.
Malheureusement, ces élections se dérouleront une fois de plus dans l’opacité administrative, dans l’indifférence générale, voire dans un entre-soi sclérosant, qui entrave toute perspective de changement nécessaire pour adapter notre profession à un environnement économique en mutation constante.
Comment pouvons-nous initier ces changements indispensables si nos représentants ressemblent davantage à des figures de prestige qu’à des agents de changement ?
Ce mode de scrutin indirect favorise les manœuvres politiques en coulisses, décourageant les chirurgiens-dentistes motivés de se présenter. Il favorise également les chirurgiens-dentistes retraités ou sur le point de l’être, dont la vision du monde réel et du quotidien diffère fondamentalement de celle d’un praticien en pleine activité.
J’aimerais soulever quelques questions qui auraient pu être adressées directement aux futurs candidats, animant ainsi une campagne inexistante, nourrissant un débat authentique, bien loin de nos représentants nationaux…
Mais qui connaît réellement ces candidats ? Et surtout, connaissons-nous leur vision de la profession pour les six prochaines années pendant lesquelles ils siégeront au conseil national ?
En conclusion, si j’étais candidat, je proposerais trois réformes simples mais fondamentales, souvent considérées comme secondaires mais pourtant essentielles pour notre quotidien. Elles font partie des prérogatives de cette institution et ouvriraient la voie à un début de débat et de programme, permettant ainsi aux conseillers départementaux de voter en toute connaissance de cause :
- Modifier le mode de scrutin afin d’élire directement les membres du conseil national.
- Autoriser la possibilité pour chaque praticien titulaire de recruter deux collaborateurs libéraux.
- Mettre fin à la double cotisation à l’Ordre lors de l’exercice en société.
Il est temps de mettre un terme au déni de réalité qui nous impose le statu quo en affirmant que « ça a toujours fonctionné comme ça » ou que « ça ne marche pas comme ça ». Il est temps de transformer les règles qui, au mieux, nous immobilisent et, au pire, nous précipitent vers l’échec.
Présentez-vous !
Gérard TOLILA
Membre du Bureau FSDL nationale
Conseiller ordinal des Alpes-Maritimes.
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