Quand la violence s’installe dans nos cabinets, il est nécessaire de faire front pour empêcher que de tels actes se reproduisent dans l’indifférence générale ambiante.
Ce ne sera pas le cas concernant la FSDL.
Notre syndicat dénonce haut et fort les menaces de mort reçues par deux de nos élus dans le cadre de leurs fonctions ordinales. Menaces graves proférées par un confrère italien, qui s’est vu recalé à son test de langue, test nécessaire à l’autorisation d’exercice sur le territoire français.
Ils ont bien évidemment porté plainte et ont signalé ces faits aux instances ordinales nationales.
Nous souhaitons que ce dossier soit traité avec l’importance qu’il mérite.
Avec la multiplication des demandes d’inscriptions aux tableaux, nous ne pouvons accepter que des pressions et des menaces de mort soient proférées contre ceux qui s’assurent que le candidat respecte l’intégralité des conditions pour exercer notre métier.
Nous mettrons tout en œuvre afin que ces actes malveillants et abjects ne se reproduisent pas et soient juridiquement punis .
Nous ne pouvons plus tolérer l’INTOLÉRABLE car chaque soignant peut devenir la cible puis la victime de propos et de comportements emplis d’une haine injustifiée et d’une volonté manifeste de nuire .
Se taire, c’est cautionner.
Nous avons choisi de ne pas le faire .